Le Graffiti à Bogota
- Lycée Français Louis-Pasteur
- 11 juil. 2016
- 1 min de lecture

Par Sarah Quintana et Maria Camila Pazos
La Colombie est à présent mondialement reconnue par ses nombreux incidents qui portent à controverse sur le trafic de substances illicites, et une grande partie de l’histoire du pays repose sur les conséquences de ces évènements et la manière dont l’ensemble de la communauté a tenté de se ressaisir face à ceci. Néanmoins, la population a su prendre conscience des richesses intangibles et culturelles qui les entourent et s’est relevée plus forte et plus passionnée que jamais. Nous pouvons notamment constater ce bouleversement de la pensée et de l’esprit en analysant un des moyens d’expression la plus spontanée et emblématique du pays : le graffiti.
Notre attention se tournera à présent vers une œuvre immensément inspiratrice et de profonde réflexion, intitulée Memoria. Les artistes qui l’ont réalisée sont Arc, Bastardilla et Chirrete. Ils sont des artistes Colombiens qui s’expriment à travers de peintures murales et d’art urbain depuis longtemps. Ses œuvres sont centrées la plupart du temps sur des réflexions à propos de l’histoire du pays.
On peut voir que l’œuvre compte du mot MEMORIA qui est sur tout le mur et sur chaque lettre, s’illustre une scène différente reflétant la violence en Colombie à cause des guerrillas et des déplacements forcés. Les couleurs les plus fréquemment utilisées sont le marron, l´’orange foncé et le jaune.
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